L’extrémisme violent prend des formes qui varient selon les époques et les contextes. Terrorisme d’Etat ou terrorisme contre celui-ci, terrorisme politique ou religieux, terrorisme nationaliste, raciste, identitaire… les versions sont nombreuses, mais elles marquent toutes un malaise profond par rapport à notre société et à ses valeurs démocratiques.
En fait, il apparaît à l’analyse que l’extrémisme violent est comme la partie émergée de l’iceberg constitué par les maux de notre société. Un jeune qui se radicalise montre autant un rapport problématique à la violence qu’un problème d’émancipation dans notre société, une difficulté à s’y construire identitairement, un manque de compétences pour bien décoder les nouveaux médias et une difficulté de la famille, de l’école, du quartier… à réagir ensemble à son décrochage sociétal.
A l'inverse, la meilleure arme contre les discours et stratégies extrémistes est de proposer aux jeunes un système à la fois démocratique, apaisé et convaincant. Pour y parvenir, la logique de l'école citoyenne est de le procéder le plus concrètement possible, dans les écoles et les associations, par le biais de 4 axes de travail :
1) Il s'agit de montrer pratiquement que les règles et leurs principes ne sont pas que des mots couchés un peu hypocritement sur du papier. Pour en savoir plus sur la travail du cadre et des règles, clique ici.
2) L'objectif est aussi de mettre en place un système de justice bienveillante, équitable et réparatrice pour que les jeunes en expérimentent à la fois les principes et l'efficacité. Pour en savoir plus, clique ici.
3) En plus des apprentissages, il s'agit de valoriser structurellement les comportements qui se tournent vers le collectif. Pour en savoir plus, clique ici.
4) Il s'agit de permettre aux jeunes d'expérimenter concrètement les outils de bien commun de notre système, tels que la parole, le journalisme ou la délégation. Pour en savoir plus, clique ici.
A travers la mise en place de ces 4 axes, le but est également de travailler différentes dimensions et enjeux de l'éducation qui, selon nous, jouent tous un rôle dans les mécanismes des mouvements extrémistes.
Quand un jeune se radicalise, c'est presque toujours qu'il a rompu le dialogue avec les personnes qui incarnent à ses yeux nos principes citoyens. En miroir, la première dimension à travailler réside dans le fait de travailler les capacités à s'exprimer de façon constructive et à nourrir les débats d'idées. Pour en savoir plus, clique ici.
Les mouvements extrémistes manifestent tous une relation problématique à la violence, partageant l'idée qu'elle est un levier de solutions. Symétriquement, les démarches préventives ont donc tout intérêt à permettre aux jeunes d'expérimenter les stratégies de communication non violente et de résolution de conflit. Pour en savoir plus, clique ici.
Un des terreaux des extrémismes réside dans notre grande difficulté à bien gérer les diversités dans la société. Nous avons du mal à nourrir les différences pour qu'elles soient des forces plus que des sources de difficultés. Pour mieux comprendre comment accueillir les diversités tout en nourrissant un projet citoyen commun, clique ici.
Rentrer dans des mouvements extrémistes, c'est souvent décrocher de son école, de ses relations d'enfance, de sa famille, de son quartier. C'est ce qui fait que lutter contre les extrémisme nécessite de réfléchir à la manière de mieux accrocher nos jeunes à l'école et, à travers cette institution, à l'ensemble de notre projet de société. Pour en savoir plus sur notre panel de stratégies d'accrochage, clique ici.
Depuis pas mal d'années maintenant, les mouvement populistes et extrémistes utilisent des stratégies de manipulation en ligne pour désinformer autant que pour nourrir les trajectoires violentes. Par conséquent, combattre ces mouvement ne peut se passer d'une stratégie à la fois concrète et efficace d'éducation aux médias. Pour connaître les pistes offertes par l'école citoyenne en matière d'éducation à ce monde de communication, clique ici.
Face aux trajectoires de radicalisation, on observe souvent une impuissance partagée par les acteurs de l'école, du monde associatif, de la famille, de la police, de l'Etat en général. Pour mieux comprendre comment l'école citoyenne permet, en sens opposé, de travailler la collaboration entre l'école et les partenaires qui lui sont extérieurs, clique ici.
L’extrémisme violent prend des formes qui varient selon les époques et les contextes. Terrorisme d’Etat ou terrorisme contre celui-ci, terrorisme politique ou religieux, terrorisme nationaliste, raciste, identitaire… les versions sont nombreuses, mais elles marquent toutes un malaise profond par rapport à notre société et à ses valeurs démocratiques.
En fait, il apparaît à l’analyse que l’extrémisme violent est comme la partie émergée de l’iceberg constitué par les maux de notre société. Un jeune qui se radicalise montre autant un rapport problématique à la violence qu’un problème d’émancipation dans notre société, une difficulté à s’y construire identitairement, un manque de compétences pour bien décoder les nouveaux médias et une difficulté de la famille, de l’école, du quartier… à réagir ensemble à son décrochage sociétal.
A l'inverse, la meilleure arme contre les discours et stratégies extrémistes est de proposer aux jeunes un système à la fois démocratique, apaisé et convaincant. Pour y parvenir, la logique de l'école citoyenne est de le procéder le plus concrètement possible, dans les écoles et les associations, par le biais de 4 axes de travail :
1) Il s'agit de montrer pratiquement que les règles et leurs principes ne sont pas que des mots couchés un peu hypocritement sur du papier. Pour en savoir plus sur la travail du cadre et des règles, clique ici.
2) L'objectif est aussi de mettre en place un système de justice bienveillante, équitable et réparatrice pour que les jeunes en expérimentent à la fois les principes et l'efficacité. Pour en savoir plus, clique ici.
3) En plus des apprentissages, il s'agit de valoriser structurellement les comportements qui se tournent vers le collectif. Pour en savoir plus, clique ici.
4) Il s'agit de permettre aux jeunes d'expérimenter concrètement les outils de bien commun de notre système, tels que la parole, le journalisme ou la délégation. Pour en savoir plus, clique ici.
A travers la mise en place de ces 4 axes, le but est également de travailler différentes dimensions et enjeux de l'éducation qui, selon nous, jouent tous un rôle dans les mécanismes des mouvements extrémistes.
Quand un jeune se radicalise, c'est presque toujours qu'il a rompu le dialogue avec les personnes qui incarnent à ses yeux nos principes citoyens. En miroir, la première dimension à travailler réside dans le fait de travailler les capacités à s'exprimer de façon constructive et à nourrir les débats d'idées. Pour en savoir plus, clique ici.
Les mouvements extrémistes manifestent tous une relation problématique à la violence, partageant l'idée qu'elle est un levier de solutions. Symétriquement, les démarches préventives ont donc tout intérêt à permettre aux jeunes d'expérimenter les stratégies de communication non violente et de résolution de conflit. Pour en savoir plus, clique ici.
Un des terreaux des extrémismes réside dans notre grande difficulté à bien gérer les diversités dans la société. Nous avons du mal à nourrir les différences pour qu'elles soient des forces plus que des sources de difficultés. Pour mieux comprendre comment accueillir les diversités tout en nourrissant un projet citoyen commun, clique ici.
Rentrer dans des mouvements extrémistes, c'est souvent décrocher de son école, de ses relations d'enfance, de sa famille, de son quartier. C'est ce qui fait que lutter contre les extrémisme nécessite de réfléchir à la manière de mieux accrocher nos jeunes à l'école et, à travers cette institution, à l'ensemble de notre projet de société. Pour en savoir plus sur notre panel de stratégies d'accrochage, clique ici.
Depuis pas mal d'années maintenant, les mouvement populistes et extrémistes utilisent des stratégies de manipulation en ligne pour désinformer autant que pour nourrir les trajectoires violentes. Par conséquent, combattre ces mouvement ne peut se passer d'une stratégie à la fois concrète et efficace d'éducation aux médias. Pour connaître les pistes offertes par l'école citoyenne en matière d'éducation à ce monde de communication, clique ici.
Face aux trajectoires de radicalisation, on observe souvent une impuissance partagée par les acteurs de l'école, du monde associatif, de la famille, de la police, de l'Etat en général. Pour mieux comprendre comment l'école citoyenne permet, en sens opposé, de travailler la collaboration entre l'école et les partenaires qui lui sont extérieurs, clique ici.